Le geek &
les couleurs

Un geek ne dort pas, il se met en veille !

iPod

Apple iPod 2005Après l’acquisition de mon Power Mac G5, je désirais tout naturellement avoir un iPod.
Je me souviens qu’à la sortie du premier modèle, j’ai juste haussé les épaules. Il faut dire qu’il ne disposait que de 5 gigaoctets. Ce qui était insuffisant pour copier toute ma musique.

Mais en 2003, l’iPod de 3e génération offrait à ses utilisateurs 40 gigaoctets de place. Assez pour avoir toute la complète Mozart Collection. La vache ! Tout Mozart, partout avec soi.

Mais il y avait un gros problème qui hantera Apple durant de longues années : la rupture de stock.
Le personnel au MacStore du coin dressait une liste d’attente de plusieurs semaines. Je visitais plusieurs autres enseignes supposées distribuer ce baladeur blanc, mais sans succès. L’iPod jouait l’arlésienne.

Tandis que je marmonnais mon mécontentement et ravalais douloureusement mon impatience, je trouvais, au détour d’une promenade, un exemplaire dans une vitre.
– Il est arrivé aujourd’hui, ajouta le vendeur.
– Pas besoin de l’empaqueter, c’est pour consommer tout de suite, fis-je en payant.
L’iPod n’avait rien du petit produit. Si mes souvenirs sont bons, il m’a couté dans les 450 €. Mais qu’importe le prix quand on aime vraiment.

Le déballage du baladeur a été un grand moment également. La marque de Cupertino avait poussé le détail très haut pour offrir au client, une expérience digne de son achat. Il suffit d’aller voir les vidéos sur le net pour s’en rendre compte.
J’ai branché l’iPod sur mon Mac et iTunes s’est lancé. Il m’a suffi de choisir les listes à synchroniser et voilà !
J’ai adoré la roue tactile ou je pouvais changer le volume à travers la poche de mon pantalon. Je n’avais pas besoin de sortir le lecteur qui m’offrait plus de 20 heures d’écoutes avec une recharge complète.
Comme souvent avec Apple, la simplicité de l’utilisation était très poussée. On comprenait tout de suite comment fonctionnait le baladeur.
À ce moment, Apple m’avait totalement conquis.